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ma présentation

Pour reprendre a présentation de pupucenoni

Surnom: Winny
Age: 33  ans
Sexe: Masculin
Signe astrologique: Bélier
Couleur: Rouge
Profession: comptable
Film préféré: Blade Runner, Le temps d’un automne, philadéphia, sister act 2, par amour pour gillian, et peut être le préféré le tombeau des lucioles
Série préférée: Stagate sg1, le caméléon, flach, mike hamer, code quantum, highlander
Dessin animé: tout les mangas, Evangelion, escaflown, kenshin, say hello the Black jack, naruto, fruits baskets, vidéo girl, I’s,  X, sanctuary, quartier lointain, un ciel radieu, reset,Naruto, macross
et peut etre le meilleur Saint Seya
Musique: surtout les chansons à texte
Les livres: j’adore bernard werber,  ted williams
Passions: Internet, ciné, randonné, vélo, les amis
Ce que je n'aime pas: l’’extremisme de droite, le racisme, la xénophobie, la haine
Ce que j'aime chez les gens: la franchise, le naturel, l‘ouverture et la curiosité
Ce que je déteste chez les gens: L'hypocrisie, l’extremisme de droite, le racisme, la xénophobie, la haine

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Archives

17 février 2015 2 17 /02 /février /2015 21:12

Déposé ce soir les armes,

quand l'âme au fond de la lame,

chahuté, blessé,

les yeux ouverts,

Quand la vie sans charmes

des regrets amers,

Fatigué, blasé

en repensant à ce temps,

dans les plaines d'Abraham

trop de temps, marchant

A regardé plus loin,

Prisonnier du passé

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9 décembre 2014 2 09 /12 /décembre /2014 14:51

L'obscurité recouvre le ciel

Peu de lumière et l'opaque chemin

Où sont les monts et merveilles ?

Où sont les rêves ?

La bas au loin,

Peut être ...

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25 avril 2008 5 25 /04 /avril /2008 20:44
Quelques mots sur le papier, quelques mots lu,
Déjà passé elle n’existe plus, loin d’être éternel
Et pourtant, il a suffit d’un instant, d’un regard
Un cout de vent pour caresser la senteur de ton parfum
Cet instant impalpable, fugace restera eternel
Je n’oublierais cet instant ou je t’ai enfin vu
Celle que j’attendais désespérément, ce matin.
Etait ce un rêve, sans doute que oui, ce moment
J’en rêve, on ne s’est jamais vu,  et sans toi,
je ne suis rien, mon nom sera le tien, ton amant
je le serais peut être un jour, cela dépend de toi
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5 avril 2008 6 05 /04 /avril /2008 07:24
[We] were driving through the desert, at dawn, and a truck load of Indian workers had either hit another car, or just - I don't know what happened - but there were Indians scattered all over the highway, bleeding to death. […] That was the first time I tasted fear. […] The reaction I get now thinking about it, looking back - is that the souls or the ghosts of those dead Indians… maybe one or two of 'em… were just running around freaking out, and just leaped into my soul. And they're still in there."

("Nous roulions à travers le désert, à l'aurore, et un camion plein d'ouvriers indiens avait soit percuté une autre voiture soit seulement - enfin, je ne sais pas ce qui s'était passé - mais il y avait des Indiens qui gisaient sur toute l'autoroute, agonisant, perdant du sang. […] Ce fut la première fois que je goûtai la peur. […] Ma réaction aujourd'hui en y repensant, en les revoyant - c'est que les âmes ou les esprits de ces défunts Indiens... peut-être un ou deux d'entre eux… étaient en train de s'enfuir, terrorisés, et ils ont tout simplement sauté dans mon âme. Et ils sont toujours là.")
Jim Morrison
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3 avril 2008 4 03 /04 /avril /2008 07:19
"I left school & went down
to the beach to live.
I slept on a roof.
At night the moon became
a woman's face.
I met the Spirit of Music."

JIm Morrison

"Je quittai l'école & descendis/à la plage pour vivre./Je dormis sur un toit./La nuit la lune devint/un visage de femme./Je rencontrai l'Esprit de la Musique."
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19 mai 2007 6 19 /05 /mai /2007 16:09
Amour307.jpg

Au dela de l'immensité
Au plus profond de moi-même
C'est le vide qui m'a habité
Aujourdhuis, celle que j'aime
Eclaire mes nuits, de son sourire
mes doutes disparaissent
tu me donnes l'envie de vivre
je t'aime
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20 avril 2007 5 20 /04 /avril /2007 12:20
Louise Michel

"Si j’allais au noir cimetière,
Frère, jetez sur votre soeur,
Comme une espérance dernière,
De rouges œillets tout en fleurs.

Dans les derniers temps de l’Empire,
Lorsque le peuple s’éveillait,
Rouge œillet, ce fut ton sourire
Qui nous dit que tout renaissait.

Aujourd’hui, va fleurir dans l’ombre
Des noires et tristes prisons.
Va fleurir près du captif sombre,
Et dis-lui bien que nous l’aimons.

Dis-lui que par le temps rapide
Tout appartient à l'avenir
Que le vainqueur au front livide
Plus que le vaincu peut mourir."
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19 avril 2007 4 19 /04 /avril /2007 12:13
Jean-Baptiste Clément

"Quand nous chanterons le temps des cerises
Et gai rossignol et merle moqueur
Seront tous en fête …
Les belles auront la folie en tête
Et les amoureux du soleil au cœur
Quand nous chanterons le temps des cerises
Sifflera bien mieux le merle moqueur

Mais il est bien court le temps des cerises
Où l'on s'en va deux cueillir en rêvant
Des pendants d'oreille …
Cerises d'amour aux robes pareilles
Tombant sur la feuille en gouttes de sang
Mais il est bien court le temps des cerises
Pendants de corail qu'on cueille en rêvant

Quand vous en serez au temps des cerises
Si vous avez peur des chagrins d'amour
Evitez les belles …
Moi qui ne craint pas les peines cruelles
Je ne vivrais point sans souffrir un jour
Quand vous en serez au temps des cerises
Vous aurez aussi vos peines d'amour

J'aimerai toujours le temps des cerises
C'est de ce temps là que je garde au cœur
Une plaie ouverte …
Et Dame Fortune, en m'étant offerte
Ne pourra jamais fermer ma douleur
J'aimerai toujours le temps des cerisesé
Et le souvenir que je garde au cœur"
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9 avril 2007 1 09 /04 /avril /2007 22:51
La pâle nuit d'automne
De ténèbres couronne
Le front gris du manoir ;
Morne et silencieuse,
L'ombre s'assied, rêveuse,
Sous le vieux sapin noir.

Au firmament ses voiles
Sont parsemés d'étoiles
Dont le regard changeant,
Sur la nappe des ondes,
Répand en gerbes blondes
Ses paillettes d'argent.

Dans le ciel en silence
La lune se balance
Ainsi qu'un ballon d'or,
Et sa lumière pâle,
D'une teinte d'opale,
Baigne le flot qui dort.

Au bois rien ne roucoule
Que le ruisseau qui coule
En perles de saphir;
Et nul cygne sauvage
N'ouvre sur le rivage
Sa blanche aile au zéphir.

Une ondoyante voile,
Comme aux cieux une étoile,
Brille au loin sur les eaux,
Et la chouette grise
De son vol pesant frise
La pointe des roseaux.

La bécassine noire
Au col zébré de moire
Dort parmi les ajoncs
Qui fourmillent sans nombre
Sur le rivage sombre,
Au pied des noirs donjons.

Sous la roche pendante,
La grenouille stridente
Dit sa rauque chanson,
Et des algues couverte
Toute la troupe verte
Coasse à l'unisson.

Dans l'onde qui miroite,
L'ondine toute moite
Ecartant les roseaux,
Sèche sa blanche épaule
A l'ombre du vieux saule
Qui pleure au bord des eaux.

Rêveuse elle se mire
Et, coquette, s'admire
Dans le miroir mouvant,
Et de ses tresses blondes,
Sur le cristal des ondes,
Tombent des pleurs d'argent.

La Sylphide amoureuse,
La Péri vaporeuse,
Fée au col de satin,
Dans leur ronde légère,
Effleurent la fougère
D'un petit pied mutin.

Les farfadets, les gnomes,
Les nocturnes fantômes,
Traînant leurs linceuls gris,
Dansent, spectres difformes,
Autour des troncs énormes
Des vieux pins rabougris.

Le serpent rampe et glisse,
Et son écaille lisse
D'un rayon fauve luit ;
Les bêtes carnassières
Sortent de leurs tannières...
Dormons : il est minuit !
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27 janvier 2007 6 27 /01 /janvier /2007 22:11

Petite fille née de l’amour, tu as vu tant d’horreur, tu as vécu au milieu de la guerre, de la barbarie, et tu as vu toute l’abîme de l’humanité. Un jour tu es arrivé pour fuir ton passé. Tu sanglotais au fond du bar. Tu connaissais personne et t’avais nulle part où aller, et t’es venu vivre chez moi. Tu souriais, mais ton regard était triste. Au fond de ton corazon, la meurtrissure des blessures de l’enfance te faisait sangloter le soir. Tout le monde pensait que tu allais mieux;


Et ce soir d’automne, sur les quais de Seine détrempé des feuilles rougis, ce soir là tu as décidé de nous quitter. C’était une nuit claire et sans lune. Tu as embrassé l’eau glaciale de la Seine , comme mille poignards.


Il ne restait de toi qu’un mot « merci »

 

On est resté tant de soir à te pleurer, en écoutant ta chanteuse préféré, Piaf. On aurait tellement voulu te dire adieu ...

 

Adieu Mounia

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