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Pour reprendre a présentation de pupucenoni

Surnom: Winny
Age: 33  ans
Sexe: Masculin
Signe astrologique: Bélier
Couleur: Rouge
Profession: comptable
Film préféré: Blade Runner, Le temps d’un automne, philadéphia, sister act 2, par amour pour gillian, et peut être le préféré le tombeau des lucioles
Série préférée: Stagate sg1, le caméléon, flach, mike hamer, code quantum, highlander
Dessin animé: tout les mangas, Evangelion, escaflown, kenshin, say hello the Black jack, naruto, fruits baskets, vidéo girl, I’s,  X, sanctuary, quartier lointain, un ciel radieu, reset,Naruto, macross
et peut etre le meilleur Saint Seya
Musique: surtout les chansons à texte
Les livres: j’adore bernard werber,  ted williams
Passions: Internet, ciné, randonné, vélo, les amis
Ce que je n'aime pas: l’’extremisme de droite, le racisme, la xénophobie, la haine
Ce que j'aime chez les gens: la franchise, le naturel, l‘ouverture et la curiosité
Ce que je déteste chez les gens: L'hypocrisie, l’extremisme de droite, le racisme, la xénophobie, la haine

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30 janvier 2007 2 30 /01 /janvier /2007 07:57

En lisant un article sur la presse économique, et en faisant quelque petites recherches sur internet je viens de voir que la chine est verrouillait internet et que "61 internautes incarcérés au 1er mai 2004, la Chine est la plus grande prison du monde pour les cyberdissidents." http://www.rsf.org/article.php3?id_article=10726

"La censure chinoise, comment ça marche ?
L’architecture du Réseau chinois a été conçue dès l’origine pour permettre le contrôle de l’information. Il n’existe que cinq backbones, c’est-à-dire cinq points par lesquels passe l’ensemble du trafic. Quel que soit le fournisseur d’accès utilisé par l’internaute, ses e-mails et les documents qu’il télécharge transitent nécessairement par ces nœuds de connexion.
La Chine a ensuite acquis des technologies et du matériel de pointe auprès d’entreprises américaines. Cisco Systems a ainsi vendu plusieurs milliers de routeurs, à plus de 16 000 euros pièce, pour constituer l’infrastructure de surveillance du régime. Ce matériel a été paramétré avec l’aide des ingénieurs Cisco. Il permet de lire les informations transmises sur le Réseau et de repérer des mots clés " subversifs ". La police a les moyens de savoir qui consulte des sites prohibés ou envoie des courriers électroniques " dangereux ".
Les autorités ont mis en place un filtrage efficace de la Toile. Le spectre de la censure est extrêmement large, allant de sites d’information à des publications sur les minorités ethniques, en passant par la pornographie, le mouvement spirituel Falungong ou les droits de l’homme. Selon une étude menée par le Berkman Center for Internet & Society, la Chine bloque plusieurs centaines de milliers de sites. Certains sont bloqués par leur adresse IP, d’autres par leur nom de domaine, mais des méthodes plus subtiles sont également apparues. Pékin pratique maintenant le détournement de DNS (DNS highjacking), une méthode qui permet, lorsqu’un internaute cherche à consulter un site interdit, de le rediriger vers un autre site, ou vers une adresse invalide. Ce type de censure est difficile à déceler par l’utilisateur, qui croit erronée l’adresse tapée. Les autorités parviennent également à censurer directement les moteurs de recherche. Pour Yahoo !, la tâche est aisée puisque celui-ci a accepté de se plier à la demande du gouvernement. Cependant, d’après Benjamin Edelman, spécialiste des techniques de filtrage du Web, le moteur de recherche Google est lui aussi contrôlé, contre son gré, par le pouvoir. Le blocage pur et simple de cet outil, tenté en 2002, s’est avéré difficile tant il est essentiel au fonctionnement du Net. La Chine a donc réussi à bloquer ses résultats de recherche, excluant les thèmes controversés. A présent, une recherche Google sur le terme Falungong entraîne soit un blocage temporaire de la connexion de l’internaute, soit ne donne aucun résultat.
Certains utilisateurs du Net chinois parviennent à contourner cette censure, en utilisant par exemple des relais proxies, c’est-à-dire en se connectant au Réseau au travers de serveurs basés à l’étranger. Des systèmes ont ensuite été mis en place par des activistes hors de Chine, pour aider les internautes à contourner les filtres du régime. Les plus actifs dans ce domaine sont le laboratoire de recherche Citizenlab, de l’université de Toronto (Canada), et Dynamic Internet Technology, une entreprise dirigée par Bill Xia, un Chinois émigré au Etats-Unis. Les Etats-Unis ont en outre créé un Bureau de la liberté sur Internet (Office of Internet Freedom), chargé de créer et diffuser des technologies permettant de contourner la censure du Net dans les pays répressifs."  http://www.rsf.org/article.php3?id_article=10726
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