14 juillet 2010
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Quand on est plus rien, futile
Que l’on se sent vide, inutile,
Que nous ne sommes plus la pour personne,
Quand on est de l’important de personne,
Que la mort est la seule solution, une délivrance
Une solution douce, qui ne me fait plus peur.
Vivre pour qui, quand on a plus d’espérance
Quand on a plus de fore, de courage, de patie nce
Que notre vie se conjugue avec l’absence,
De tout.
Plus d’envie, tel un automate qui pleure
Etre à bout de souffrir de cette souffrance incontrôlable,
Qu’une obsession c’est de ne plus ressentir cette douleur
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